Alice est une jeune femme délicate, une véritable poupée de porcelaine. Toujours vêtue de blanc et de façon un peu archaïque. Elle est de taille moyenne et bien proportionnée également. Ses gestes sont doux, comme sa voix, donnant presque l’impression que cette jeune femme est très réservée. Alice porte normalement des petits bottillons assortis à la robe du jour. Elle a également les cheveux lui arrivant un peu en bas des épaules vaguant légèrement. Il est très rare de voir ses cheveux sans rien pour les attacher, préférant mettre une petite barrette assortie à sa robe de la journée. Mis à part un peu de maquillage sur les yeux et les lèvres Alice n’est pas une maniaque des cosmétiques. Malgré le côté original de ses tenues elle reste simple.

Douce, douce petite Alice c’est ce que dégage cette jeune femme médecin quand on la regarde. Cette jeune Française est plutôt sensible et d’une gentillesse remarquable. Elle est également une très grande romantique, pleurant lorsqu’elle lit ou regarde des films ou livres traitant d’amour ou d’événements dramatiques. Alice est une passionnée, elle fait toujours tout à l’extrême oubliant parfois de penser un brin à elle. Il en est de même pour les discussions, c’est un véritable moulin à paroles. Signe flagrant d’un stress mal géré et de sa nervosité. Alice est ce que l’on appelle une personne empathique, elle ressent trop ce que ses patients ressentent eux-mêmes et cela parfois lui fait perdre un peu son côté « professionnel ». Par contre Alice possède un petit côté soupe au lait et a un léger côté volcanique à l’occasion. Elle est très possessive et jalouse sur ses propriétés. Alice aime les arts et collectionne les poupées de porcelaine. Tout de même ouverte, la puritaine ne peut s’empêcher de rougir lors de propos trop osés. Ah un petit oubli cette belle jeune femme est tout de même un peu nunuche et retardataire.

Contrairement aux apparences Alice a grandi dans la campagne Française dans une ferme en compagnie de toute sa famille incluant ses nombreux frères et sœurs. Elle n’était ni la plus vieille, ni la plus jeune. Toutefois, les membres de la grande famille étaient ses trois frères et elle, fut la première des sœurs à naître. Vivre dans une grande famille demandait une grande maison. Son père était un homme qui était très habile de ses mains, façonna donc l’habitation dans laquelle les Morency vivaient. Elle a également grandi dans l’esprit de solidarité, du pardon et surtout dans l’ambiance catholique. La jeune femme allait donc à la messe de façon régulière avec sa famille et c’est d’ailleurs à cet endroit où son amour pour la musique eu commencé, si bien, qu’elle décida de s’inscrire dans la chorale de l’église. Alice a toujours promis de garder son innocence tant qu’elle ne serait pas mariée. Alice eu une enfance que l’on pourrait dire « normale ». Toute jeune, elle n’était pas le genre de fille qui faisait tourner les regards, contrairement à ses sœurs plus jeunes qui elles pouvaient passer des heures à ce regarder devant la glace. Par contre, l’âge semblait avoir raison d’elle et plus les années passaient, plus Alice devenait jolie et faisait parler d’elle. Plusieurs ont tenté de la courtiser mais en vain, Alice avait rapidement choisi de se donner corps et âme pour le bien des enfants qui avaient besoin d’elle. Malgré qu’elle aie grandit dans une famille où la religion était importante, la Morency était une personne ouverte d’esprit, qui ne jugeait pas les actes des autres. On pourrait presque la qualifier de « catholique moderne ». Ainsi, Alice se donna à fond dans ses études afin de pouvoir venir en aide à son prochain. Les années passèrent et la jeune femme qui avait des notes parfaites, finit par décrocher son diplôme en tant que médecin généraliste. La vie d’Alice ne fut pas de celles qui étaient rebondissantes d’aventures ou de mésaventures, elle fut tranquille et elle en est très consciente et reconnaissante. Toujours sans avoir rencontré le grand amour Alice reçu l’offre d’une compagnie pharmaceutique spéciale pour les rejoindre dans leur projet top secret. Avait-elle quelque chose à perdre ? Non pas vraiment en effet. C’est ainsi que la petite puritaine devint une des médecins du « Projet Abrosyah ».