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 Stéphane Plante

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MessageSujet: Stéphane Plante Stéphane Plante I_icon_minitimeLun 18 Oct - 18:37

Stéphane Plante


Informations générals


NOM DE POUPÉE : Socrate
NOM : Plante
PRÉNOM : Stéphane
SURNOM : Steph, le Kid
ANNIVERSAIRE : 5 Décembre
ÂGE : 17 ans
NATIONALITÉ : Autochtone, Micmac
DORTOIR: Dortoir A
ORIENTATION SEXUELLE : Bi
NIVEAU DE DANGEROSITÉ : Fort

GROUPE SANGUIN : B+
TAILLE : 6 pieds 2
POIDS : 170 lbs
MÉDICAMENTS : Non
MALADIE : Accro chronique, schizophrène dangereux
ALLERGIE : pénicilline, cortisone
PEUR : /
MANIE : faire le pitre
MÉDECIN TRAITANT : Alice Morency
PSYCHIATRE TRAITANT : Alexanne Mikolov
TUTEUR TRAITANT : Alice Morency


Informations supplémentaires

Schizophrénie dangereuse : En fait, on ne sait pas si le patient est réellement schizophrène, ou a tout simplement mal réagit aux substances absorbées le soir du triple meurtre. Après tout, il a été prouvé que les amérindiens ne réagissent pas de la même façon aux substances chimiques et alcooliques que les caucasiens. Stéphane a des réactions imprévisibles allant de la violence irraisonnée aux hallucinations.
Accro chronique : Le patient démontre une forte tendance à la dépendance. Drogue, alcool, sexe, café, tout ce à quoi on peut développer une dépendance, il la développera.

Manie : Stéphane aime faire le malin, attirer l’attention en jouant a l’humoriste ou en se moquant des autres. Il aime aussi avoir quelque chose dans la bouche, mâche des crayons, des pailles, ronge ses ongles, chique de la gomme.


Raison de sa présence à Abrosyah

Nous avons reçu la recommandation de ce patient par l’institut Pinnel de Montréal qui n’est pas habilitée à garder des patients mineurs.


Langues parlées

Français, anglais.


Descriptions personnelles


Description physique

Le jeune homme de haute taille est mince. Il arbore encore sa carrure d’adolescent dégingandé. Il possède des cheveux foncés et des yeux noirs et bridés qu’il tient de ses origines autochtones. Stéphane porte des jeans, des t-shirt sur lesquelles il écrit des répliques reflétant son humeur ou un message qu'il tient à passer, des chaussures sport et ce qui lui tombe sous la main. Son expression faciale est hautaine, voire irrespectueuse. Il arbore souvent un sourire narquois qui dit « je sais quelque chose que vous ignorez ». Sa démarche est rapide, sans être nerveuse lorsqu’il est calme, mais, dû à son trouble mental, il a des périodes exaltées où sa physionomie change totalement. Néanmoins, le jeune homme dégage un charisme de voyou susceptible de lui attirer des camarades admiratif. Il a de grandes mains solides aux longs doigts puissants et se ronge les ongles. Sa voix est de niveau moyen, ni trop forte ni trop faible et de tonalité moyenne. Cependant, elle est très douce et juste.


Description psychologique

Note au personnel concerné : Stéphane est imprévisible. Tantôt, il sera calme, raisonnable, sérieux et plaisant, tantôt il sera acerbe, rebelle, défaitiste, agité. Il est prompt à changer d’attitude et peut devenir dangereux. Il aime cependant beaucoup attirer l’attention, qu’elle soit bonne ou mauvaise et il peut se montrer soit provoquant, soit comique. Il détient un sens de l’humour aiguisé qui, dans ses bons moments le rend attachant, voir charmant. C’est un jeune homme intelligent qui réfléchit à ce qu’on lui dit même s’il ne le montre pas. Parfois, il lui arrive d’entrer en phase d’agressivité. Pendant ses phases, Stéphane est encore plus imprévisible que d’habitude et nous ne savons pas ce qu’il peut faire. Cependant, nous avons remarqué qu’il aime écrire. Il tient un journal de bord dans lequel il écrit ses pensées et ses états d’âme. Peut-être y trouverez-vous des détails importants pour l’élaboration de son traitement. Avant l’incident, Stéphane faisait parti d’un groupe de jeunes rebelles militant pour le respect des droits des Premières Nations. Nous craignons que cet attachement à une cause ait accéléré sa détérioration psychologique puisque le jeune homme ne fais jamais rien à moitié.


Biograhpie

15 octobre
Ça fait six mois que je suis ici, à Pinnel en attente d’un transfert. C’est long et plate.

Pourquoi suis-je à Pinnel, demandera-t-on? C’est simple, j’ai tué mes parents et ma sœur.

Comment c’est arrivé? Faut vraiment que je dise tout, j’imagine…

Bon.

Je viens de Gaspésie. Plus particulièrement de la communauté Micmac de Gesgapegiag. Mes parents, Paul et Suzanne, étaient pêcheurs. Oh, ma mère fabriquait aussi des paniers de foins de senteur, des capteurs de rêves et des mocassins. Bref, ils n’étaient pas souvent là. Pour bien faire, Rachel, ma grande sœur était une miss parfaite. Elle était bonne à l’école, elle avait plein d’amis, En gros, tout le monde l’aimait.

C’est un peu compliquer d’expliquer ça. Quand j’étais petit, j’étais bon à l’école. Tellement bon, que je trouvais ça plate. Quand j’avais fini mes exercices, la maîtresse était toujours après expliquer cent vingt-cinq fois aux autres, spécialement aux tarés et elle s’occupait pas de moi. En fait, personne s’occupait de moi et j’aimais pas ça, parce qu’à part être bon à l’école, je ne faisais rien de spécial. J’étais pas bon en sport, pas doué en musique et je ne voulais pas finir en nerd pas d’amis, oh que non! Alors, je me suis mit à faire des niaiseries. Je me levais, dérangeait les autres, leur faisait des grimaces ou imitait la prof qui marchait comme un canard et qui avait un gros cul. Évidemment, ça faisait rire les autres puis moi, je me mangeais une punition. Mais au moins, après l’école, j’avais des amis.

Un moment donné, ils ont décidé de me donner du ritallin. Bien ça n’a rien changé! Ma mère était tellement occupée, qu’elle me surveillait pas et en général, je jetais mes pilules dans la poubelle. J’en voulais pas, de ça, moi. Pis qu’est-ce que ça pouvait bien faire, j’avais tout le temps bon à l’école de toute façon.

Quand tu vies dans une réserve, dans un coin éloigné d’un pays trop grand pour le nombre de monde qui y habite, tu finis par vraiment trouver le temps long. Avec mes chums, on s’est mis à sniffer de l’essence, puis de la colle. Bien jeune, on s’est décidé à voler du pot aux parents de Bobby, qui le cultivait, puis à piquer de la bière et du fort un peu partout.

Évidemment, quand tu commences ça, tu finis toujours par en chercher de plus en plus. C’était facile pour moi, mes parents s’occupaient pas de moi. Je pouvais leur dire n’importe quoi, ils s’en rendaient pas compte que je manquais l’école, que je me droguais et que je baisais tout le monde que je voyais, soit pour de l’argent pour acheter mes plaisirs, soit juste pour le fun de le faire. Eh puis, quand ils me prenaient la main dans le sac, comme on dit, ils levaient les yeux au ciel et soupiraient. J’aurais été vraiment débile de pas en profiter.

Évidemment, miss Rachel la Parfaite chouchou s’était aperçu de quelque chose. Elle a essayé de m’arrêter, elle a essayé de m’intéresser à autre chose, mais tu sais, quand tu es ado, ta sœur parfaite, tu t’en fiches ben raide.

Avec Bobby - il était plus vieux que moi, tous mes amis l'étaient -, on allait militer pour les droits des Indiens, comme les Blancs nous appelle. On a fait des tas de conneries, on a crevé des pneus, on a cassé des vitres, vraiment, ben des conneries.

Quand j’ai eu seize ans, j’ai décidé que j’en avais assez de l’école. De toute façon, pourquoi je finirais mon secondaire alors que mon père me traitait de bon à rien parce que j’étais pas doué pour la pêche. J’avais la vague idée de devenir écrivain, et un jour, William, le prof de français m’a dit que je savais déjà écrire, que j’avais un bon style et que continuer des études de lettre ne ferait que briser ma spontanéité.

C’est comme ça que ma spontanéité et moi, on a lâché l’école. Comme ça, ça me donnait plus de temps pour aller à des manifs avec Bobby et, je pouvais rédiger des pamphlets, distribuer des tractes, écrire des articles de journaux ou des histoires. Je m’étais trouvé une job de camelot (j’avais cassé les jambes du gars en place) et je passais la nuit avec ma gang et je passais les journaux (je me suis jamais trompé nulle part), avant d’aller me coucher jusqu’au soir, où la fiesta et les revendications recommençaient.

Un soir, il y avait un nouveau gars au party. Un cousin de la ville qui était débarqué avec de l’acide. Tout le monde en a acheté, on en a tous fait. On a continué à boire, et on a fait le party. On se préparait pour un gros rassemblement, on allait tous à Québec pour manifester devant le parlement. La tension était forte.

Je me sentais bizarre. L’acide, j’aimais pas trop ça. Ça me faisait entendre des drôles d’affaires. Je suis rentré chez nous. C’était une nuit sans lune. Je suis passé par le garage, parce que je savais pas où j’avais laissé mes clefs.

C’est là que je l’ai vue.

Elle était mon amie. On fendait le gros bois ensemble. Son manche était solide, sa lame lourde et tellement acérée qu'elle coupait n'importe quoi comme si c'était du beurre fondu. Le père la traitait bien. Mieux que la mère, je trouvais. Paul, il traitait Suzanne comme de la merde de chien sous sa botte.

Après, c’est flou. La seule affaire que je me souviens, c’est que j’ai appelé la police. J’avais peur. Je venais de tuer le Wendigo qui s’était introduit chez nous.

C’est là qu’on m’a accusé de triple meurtre. Apparemment j’ai frappé tellement fort que la tête de Paul a revolé à l’autre bout de la chambre. Pour ce qui est de ma mère, elle avait reçu un coup en pleine poitrine. On m’a dit qu’on avait retrouvé un des bras de Rachel en haut de l’escalier puis l’autre sur le palier. Elle, elle était tombée dans la cuisine, la tête finalement tranchée.

Maintenant, je regarde mes feuilles et je me demande pourquoi j’écris ça. Je sais bien que Tête-d’Anus - oui, oui, monsieur le psy, votre tête ressemble a`un gros derrière poilu sans jambes! – va tout lire et va faire un rapport à l’institution où on m’envoie. Avec ça, ils vont avoir une belle image, quand même, n’est-ce pas? En tout cas, faut que j’y aille.


18 octobre
Je sais pas depuis quand je suis ici. On m’a dit que mon nom était Socrate et que j’avais tué mes parents et ma sœur. C’est drôle, je me souviens de rien…


Hors Jeu


Plus sur vous

  • Comment avez-vous connu Abrosyah ?:C'est mon troisième perso
  • Aimez-vous le design ? :
  • Votre âge : 30 ans
  • Votre présence sur 10 : entre 7 et 9
  • Code des règles ? : Code validé par shinn
  • Source de l'avatar :
  • Autres remarques :



Dernière édition par Minaru le Sam 9 Avr - 20:07, édité 5 fois (Raison : Orthographe. :D)
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MessageSujet: Re: Stéphane Plante Stéphane Plante I_icon_minitimeLun 18 Oct - 21:31

J'ai honte de le dire, mais j'aime cette fiche. :D
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MessageSujet: Re: Stéphane Plante Stéphane Plante I_icon_minitimeLun 18 Oct - 21:52

Ouais vraiment, elle est excellante. je l'adore aussi. Bravo
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MessageSujet: Re: Stéphane Plante Stéphane Plante I_icon_minitimeMar 19 Oct - 6:20

Il n'y a pas de honte à être satisfait de son travail ^^!

tout est en ordre, donc je valide la fiche (j'ai offert mon aide à shin en attendant que le staff soit de nouveau au complet).
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MessageSujet: Re: Stéphane Plante Stéphane Plante I_icon_minitimeMar 19 Oct - 7:33

Je sais elle me l'a dit. Yes! Il va commencer à faire des siennes ce soir. :D
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MessageSujet: Re: Stéphane Plante Stéphane Plante I_icon_minitime

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