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 Abel

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MessageSujet: Abel Abel I_icon_minitimeMar 12 Avr - 12:30

Abel


Informations générales



NOM DE POUPÉE : Abel
NOM : Caïn
PRÉNOM : Maxime
SURNOM : Max
ANNIVERSAIRE : 16 Décembre 2004
ÂGE : 19 ans
NATIONALITÉ : Américaine
DORTOIR: Dortoir C
ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel
NIVEAU DE DANGEROSITÉ : Fort

GROUPE SANGUIN : A-
TAILLE : 1m80
POIDS : 66 kg
MÉDICAMENTS : Antidépresseurs, téralite, benzodiazépines.
MALADIE : dépression, irritabilité nerveuse/personnalité antisociale, bipolarité, Insomnie
ALLERGIE : Noix de coco,
PEUR : Les salles de traitements, les médecins, les couteaux
MANIE : Tourne ses pouces, passe sa langue dans ses joues au niveau des cicatrices
MÉDECIN TRAITANT : Ryo Terrada
PSYCHIATRE TRAITANT : Eliez Damisha
TUTEUR TRAITANT : [Donné par les admins]


Informations supplémentaires

Maxime est Américain, il à oublié sa véritable nationalité et par facilité il se dit natif de la Nouvelle-Orléans.


Raison de sa présence sur Abrosyah

Est depuis sa plus jeune enfance interné à la Nouvelle-Orléans, sous la tutelle de Iionel Caïn. Suite à la réalisation du meurtre de se dernier son état mental fut déclaré défaillant à vie. Il à était par la suite confié au projet Neuropharma.


Langues parlées


Il parle l'Américain le Français.


Descriptions personnelles


Description physique


Il est plutôt grand pour son âge, prêt d' 1m80 pour 66 kg. est assez androgyne avec ses longs cheveux noirs de jais lui tombant sur le visage et jusqu'à la fin des omoplates dorsale. Il les laisse toujours détachés, en batailles, mal coiffé même. Son visage fins n'y est surement pas étranger non plus. Il est maigre, pas très fort. Ses yeux sont bleu très clair, sa peau est parfois comparé à de l'albâtre tellement il est pale. Son visage est ovale, fin et défiguré à vie ! En effet depuis ses six ans il porte deux cicatrices sur le visage allant des commissures de ses lèvres à ses oreilles. On l'appelle le sourire de l’Ange . Beau nom pour une chose aussi horrible. Par chance il n'a plus les fils qui servaient à retenir sa chair scindée en deux. Maintenant il ne lui reste plus que deux lignes luisantes à la lumière qu'il dissimule sous des écharpes ou des cols roulés.Il a des cernes sous les yeux, bien visibles et causé par ses fantômes du passé. Il à également deux trou à l'oreille droite et un à la gauche qu'il c'est lui même fais avec une aiguille chauffée à blanc pour imiter une femme qu'il avait vue sauf que elle n'avait que deux trou au totale. Il porte souvent des chemises mal boutonnée, des t-shirt, des pantalons en toiles déchirés sur le bas avec des chaussures du genre converse ou doc. Il lui arrive aussi, de porter une longue robe, tel un grand t-shirt gris ternes, lui arrivant mi-cuisse avec de grande chaussette rayé, tenue lui rappelant son ancien asile.


Description psychologiquer

Solitaire, il évite ses congénères, il ne fait pas confiance au genre humain, il l'a vu commettre tant d'atrocités. . .
Il se considère comme mature pour son âge ...quoi que...Nous allons en porter la faute sur le milieu ou il a grandi : malsain, froid, sanglant, mortel ! Il est sans cesse fatigué, il a énormément de mal à s'endormir et à discerner si il est endormit ou éveiller.
Dès que ses paupières ce ferment ses cauchemars l'assaillent. " tu es insomniaque mon grand" . Il ne sourit jamais - pas besoin ses cicatrices s'en charge pour lui alors pourquoi se fatiguer les zygomatiques ?- "Pourquoi es-tu si sérieux ? *Crissement de lame*" Il n'est suis plus heureux depuis des années, il ne ressent que de la peine et de la lassitude. "Cet enfant est dépressif ...". En fait non !
Il ressent autre chose...une immense colère qui se traduit par des crises de nerfs, des coups, des cris, une extrême violence
" Ton irritabilité nerveuse m'exaspère ! * coulement d'eau dans une baignoire*" Il est du genre rebelle, le règlement et ceux qui le font respecter il leurs crache dessus ! Il se bagarre souvent, il est du genre violent et ne se laisse pas faire. Il n'aime pas que l'ont, le touche de façon trop prononcé voir de façon obscène. Peu être que le fait qu'il n'assume son attirance pour le genre masculin y est pour quelque chose. L'hémoglobine ne l'effraie pas ! Depuis qu'il a teinté les draps maternels il n'en ai plus peur. il peux s'ouvrir le bras et regarder froidement son liquide vital s'enfuir de ses veines si vous voulez une preuve ! Il refuse toujours d'aller en salle de traitement ou de prendre ses médicaments, pour lui ce ne se sont que des drogues qui ne le soigneront pas.
Il renie l'injustice et défend ceux qui semble mal en point. Il se retrouve en eux d'une certaine façon. Il est plutôt froid avec autrui, il se méfie, qui sait ce qu'il cache sous son masque de porcelaine ?


Biographie

"16 décembre 2004, un ventre gonflé se contracte et un vagin dilaté éjecte du liquide et un petit corps fripé et criard. Me voici né, dans les bras frêles de ma mère. Mais bien entendu je ne m'en souviens pas ! D'ailleurs j'ai tout oublié d'avant mes six ans. Étais-je pauvre, Riche ? Orphelin ? Heureux ? Triste ? Je n'en sais rien. Je vais donc directement passer à ce dont je me souviens plutôt que de vous compter un passé imaginaire et idéalisé. J'ai donc six ans je marche dans la rue tout seul je cherche quelqu'un, ma mère surement. Il fait froid, la foule ne me voit pas, les pavé du sol me font mal aux pieds, puis j'heurte un homme, cheveux noir, yeux malsain (j'ai oublié leurs couleurs), habillé richement. Ils 'agissait d'un médecin ai-je appris par la suite. Il me dit qu'il allait me ramener à ma mère, et moi désespérer et naïve je le crus et le suivis jusqu'à sa maison de campagne. Je commençais à paniquer, mais je n'avais que six ans et lui entre vingt et trente ans. Il m'empoigna et me traînât dans la maison malgré mes cris. Une maison de riche, vaste, joliment décorée. Nous allâmes jusqu'à la cave, sans fenêtre, contenant une table d'opération, divers outils de médecine, un siège avec des lanières, il y avait une pièce annexe, où il n'y avait qu'un matelas à même le sol avec un oreiller et une couverture humide. Des WC, un lavabo, un miroir et en guise d'éclairage une pauvre ampoule pendant mollement du plafond et qu'on ne pouvait allumer que de l'extérieur. Ce sous sol était sombre, froid, lugubre, humide, puant la moisissure et la poussière. Je fus enfermé dans la seconde pièce, tout seul durant une nuit et une journée, accompagné par mes pleures juvéniles. Il revint me voir un jour après, un sourire malsain aux lèvres. Il revint tous les jours, me nourrissant, m'aidant à m'endormir, il était gentil, jusqu'à ce qu'il m'apprivoise suffisamment pour me plaquer sur le matelas et caresser mon petit pénis à peine formé. J'avais envie de vomir, je n'avais que six je 'n'aurais jamais dû connaitre ce genre de choses ! Il m'embrassait ou essayait et vu que je refusais il baisai mes joues humides. Je n'aurais jamais pensé qu'on pouvait jouir à six ans ... Et il recommençât encore et encore ...Je n'y prenais aucun plaisir et j'arrêtai de sourire. Ce qui le frustrât grandement, un jour il m'empoignât et me traînât à la chaise, m'y sanglât et me demanda '' Pourquoi es-tu si sérieux ?'' Il saisit un couteau le plaça dans ma bouche, je me souviens encore du gout infect de la lame désinfectée, le froid sur ma langue et la lame perçant ma peau, le sang glissant sur ma peau et dans ma gorge, mes cris étouffée, mes larmes de douleurs, mais rien n'y fit il continuât et traçât même un deuxième trait. Le sourire de l'Ange était à jamais graver sur ma peau. "


Hors jeux


Plus sur vous


  • Comment avez-vous connu Abrosyah ?: Par la fondatrice
  • Aimez-vous le design ? : ouiiiiii ~
  • Votre âge : 18 ans
  • Votre présence sur 10 : 5/10
  • Code des règles ? : Validé par Koko
  • Source de l'avatar : Kaï- Créature 13
  • Autres remarques :



Dernière édition par Maxime Caïn le Mer 13 Avr - 10:01, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Abel Abel I_icon_minitimeMer 13 Avr - 6:08

Biographie (suite)


"Il cousu ma chair pour que les plaies cicatrises. J'avais mal, je pouvais à peine ouvrir la bouche et il en jouait me forçant à crier, les fils tendant ma chair meurtrie. Les attouchements continuèrent également, il me caressait, enfouissait mon sexe dans son immense bouche, faisant entrer ses doigts dans mon intimité, par chance il n'eut pas le temps de prendre ma virginité. Il attendait surement que je sois plus grand.
Il m'autorisait à dessiner, m'apportant du matériel de temps à autres. Je ne sais combien de temps je restai avec lui, mais un jour il vint paniqué et m'emmena de force à la voiture. Cela faisait si longtemps que je n'avais pas vu le soleil, il me brûla les rétines. Nous parcourûmes des kilomètres jusqu'à arriver à une ville, puis une immense battisses, un manoir. Je priais pour un orphelinat où je serais en sécurité.

Mais lorsque je vis des adultes je compris que ce n'était pas le cas. Le docteur Ionel Caïn nous accueillit je ne compris rien à leur discussion, je me frottais sans cesse les yeux, épuisé par le voyage. Je revois encore le Docteur se pencher vers moi avec son sourire malsain, me caresser les cheveux et annoncer : « Bienvenue parmi nous jeune homme, tu verras nous prendrons soin de toi »
Je logeais au premier étage, l’étage des pauvres, tout au fond. Plus on avançait plus les chambres étaient délabrées. Pourquoi ? Tout simplement parce que les inspecteurs ne prennent jamais la peine d’aller jusqu’au fond des couloirs. Les murs étaient légèrement fissurés, il y avait une fenêtre, une table en guise de bureau, un lit à l’armature grinçante, un matelas mou, un oreiller miteux et une couverture. J’ignorais encore ou j’étais, je ne comprenais rien. Il y avait des horaires à respecter, on subissait des traitements. C’est peu après que j’appris que j’étais en asile, un endroit pour les fous. Mais je n’en étais pas un … On me faisait subir des traitements au sous-sol, dans une salle nommée Hydrothérapie. Il y avait des saunas, des tuyaux, une grande baignoire avec un couvercle de bois dessus. « On l’appelle l’hydre, ils mettent dedans et il ferme le couvercle pour être sûr que vous ne puissiez pas ressortir. Vous préférez être mort plutôt que d’y retourner. » Je haïssais cette salle. Je me rebellais sans cesse, je tentais de m’évader, mais toutes mes tentatives furent veines.
Le docteur Caïn ne me supportait pas, il me dévisageait, élaborait mes punitions : généralement il m’enfermait dans une salle, sanglé à une chaise troué dans le siège pour que les patients puissent uriner. Ou il me confisquait mon matériel de dessins. Il faisait tout pour que je me retrouve seul. Et il y parvenue, je me mis à l’écart ; cachant mon visage derrière mes cheveux devenus longs. J’étais une véritable furie. Mon psy David Tyler m’annonçât que j’avais une irritabilité nerveuse et une dépression . J’étais fou alors ? C’était eux qui m’avaient rendus cinglé ! J’étais une vrais plaie, refusant les traitements, frappant les aides-soignants, crachait sur le Docteur Caïn et cela dura un long moment, mon enfer s’intensifiait jusqu’à ce qu’ elle arrive.
J’avais à présent sept ans. Elle arriva en Mars, le ventre rond, elle semblait …si pure …tel la vierge Marie … Elle n’allait pas faire long feux ici ! Ce n’est quand Avril qu’elle m’aborda, elle cherchait à m’approcher, m’aider mais je la repoussais. Cependant elle s’accrocha telle une sangsue, cherchant à me prouver sa bonne foi et sans que je m’en rende compte, elle réussit à percer ma forteresse.
Je m’attachai à elle et nous devinrent très proche. J’étais sans cesse à ses côtés, nous nous protégions mutuellement, elle était fragile, enceinte de sept mois de la petite Marie. Marilyne ne craignait pas mon visage défiguré. Mais le Docteur Caïn n’appréciait guère se rapprochement et il tentât de nous séparer en vain. Jeanne Matthews, dépressive et amante forcé du docteur nous aidait. Je reprenais peu à peu gout à la vie à leurs côtés. Je commençai même à sourire.
Le ventre de Marilyne se gonflé, elle était à huit mois. Mais son sourire disparue, son teint devint blafard, elle ne vivait plus vraiment, son ventre était dégonflé, pourquoi ?
« Tout est sombre … mon bébé…rendez-moi mon bébé »
Je tentais de la réconforter en vain, jour après jour elle se transformait en fantôme puis ce qui devait arriver arriva ... j'allais la réveiller, tranquillement, elle ne répondit pas lorsque je frappai à sa porte. Je l'ouvris donc et hurla, fondis en larmes, de aides-soignantes vinrent voir ce pitoyable spectacle. Marilyne allongée dans son lit, les yeux gorgés de larmes rivés au ciel, les poignets ouverts, vidés de leur sang, sa robe blanche et ses draps teinté d'un rouge vif. Le corps humain peut contenir autant de sang ? Elle était morte, on m'avait retiré à nouveau ma mère et je connaissais le fautif.
Docteur Ionel Caïn, maintenant c'était la guerre entre nous ! Jeanne s'occupa de moi après le drame, j'étais déterminé à quitter ce lieu ! Je voulais fuir le fantôme de Marilyne et de son enfant, le Docteur Caïn et la malveillance de ses lieux. Mais je pris le mauvais plans, je me rebellais de plus belle.
Je finis souvent en isolement, fut privé de repas, drogué, cobaye pour des médicaments mais qu'ils fassent je tenais tête au docteur. Cela dura des années au moins je m'occupais. .. Je vous épargne les détails de se macabre quotidiens, ça vous ennuierait à la longue.
Je passe donc à mes 16 ans. Jeanne quitta l'asile enfin guérie. J'étais un bon dessinateur, je n'avais plus de fil pour fermer mes plaies juste des cicatrices, des traces de piqûres aux bras, je subissais sans cesse divers traitements, pour le moment j'avais échappé aux électrochocs, mais je savais que Ionel se montrera imaginatif.
J'attendais dans ma chambre ma sentence, je m'attendais à la sismothérapie. Mes bourreaux arrivaient me traînent au sous-sol, mais ne tourne pas dans la salle à laquelle je m'attendais. Nous allons dans la salle des traitements, je me retrouvais sanglé à la chaise même la tête. Je paniquai, c'est trop simple comme punition, ça cache quelque chose. Caïn s'approcha me parle, dis qu'il était désormais mon tuteur officiel, j'étais dés à présent Maxime Caïn. La rage m'envahit, je lui crachai au visage.
« Pourquoi ne souris-tu donc jamais ? » je craignais le pire après cette réplique ... je paniquai de plus belle en le voyant saisir une lame, je devins hystérique, tenant de me libérer, hurlant en vain. Il me fit taire en glissant la lame dans ma bouche. Il me dit qu'il en avait assez de moi, que j'étais seul à présent, que j'étais à sa merci puis retraçât mes plaies, ce gout métallique et visqueux, le gout de mon sang dans ma gorge de me donnât envie de vomir. J'avais mal ...si mal ... je me retrouvais à nouveau avec des fils sur le visage, j'étais écœuré par mon propre reflet. C’est à cette époque que je rencontrai Mikaël. Un schizophrène à multiple personnalité. Il était plus vieux que moi, et bien plus dangereux. Il avait voulut m’aborder, mais je refusais de vouloir me lier à nouveau. Vu comment cela avait finit. Mais une de ses doubles personnalités ne l’entendait pas de cette oreille. Un jour que je dessinais dans ma chambre, il entra. Différent vulgaire. Pour la deuxième fois de ma vie on me forcé à avoir des rapports. Caïn ne nous ratât pas, pour lui il ne s’agissait pas d’un viol mais bien d’un rapport homosexuel consentent. A croire que mes agresseurs sexuels ne seront jamais punis ! J’évitais du mieux que je pouvais Mike, mais il s’avérait collant, et ses alter-égaux également. Au final il se vit un bon alliée. Il me suffisait juste d’éviter se pervers d’Eran, sa personnalité la plus instable de toutes. Avec lui, je pus rendre la vie impossible à mon tuteur. Les fils sur mes joues était partit, la plie refermé, mais ma haine envers lui n’avais cessé de grandir ! Je voulais me venger, lui faire payer. Il avait beau renier la relation que j’avais eu avec Eran, j’avais bien remarqué la façon dont il ‘avait regardé, nu sur mon lit et déchiré. Je m’en servis, il n’avait plus Jeanne pour se vider il fallait donc jouer finement là- dessus. Et cela ne pris pas longtemps, il devait tellement être frustré qu’il me sautât presque dessus, après quelque provocation seulement. Il ne prit pas la peine de vérifier que je n’avais rien sur moi, ainsi il ne vit pas le rasoir que Mike avait volé à un aide soignant. Il était nu sous moi, la queue dressé, un coup sec dans la pomme d’Adam suffit mais je ne m’étais pas arrêté là, la lame ne cessât de rentrer dans sa chair devenue de la bouillie jusqu'à ce que des employé vienne me sortir de la chambre. Il était trop tard l’intendant était mort. Je fus placé en salle d’isolement en attendant que l’ont décide de se que j’allais devenir. Mon psy, David m’avais prévenue qu’après çà mon état mentale allé être déclaré totalement défaillant. Mais je m’en fichais, j’étais libre, libre de lui. J’avais vengé Jeanne et Marilyne. C’est cette même année qu’il y eu une loi sur la fermeture des asiles. Mon sort fut décidé à se moment là. Je fus exporté à Neuropharma, loin de Mikaël, loin de la nouvelle Orléans. Et vu le visage ravit des employé j’allais vivre encore un enfer. "


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Abel

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