Petite pour une écossaise mais tout de même de taille moyenne, elle est surtout très menue, on pourrais croire qu'un coup de vent suffirait a la faire s'envolée. Mais bien qu'elle soit chétive, elle a une force tout a fait normale pour une femme et une bonne endurance, surtout au niveau du cardio. Elle est dotée d'yeux de couleur bleu ciel tout a fait naturel. Ceux-ci sous le coup de la colère peuvent parfois devenir d'un gris de pierre, aussi dur que le fer. Sa peau est d'un blanc laiteux qui donne presque l'impression d'être translucide mais qui n'est pas non plus poussé a l'extrême en lui donnant un air malade. Ses cheveux blond comme le blé mur encadrent son visage aux traits fin. Un petit nez délicats et des lèvres tout aussi fine. Elle porte habituellement un petit bijoux sur son front , une petite chaine d'or. Elle est toujours accompagné de ses écouteur énorme, couvrant l'oreille confortablement et réputé pour leur sonorité, de son petit lecteur de musique a écran tactile. Elle est toujours en habits confortable, des pantalons larges ou des pantalons trois quart évasé. Un chandail a manche courte ou un coton ouaté dans les temps plus frais avec bien évidement son capuchon large. Le tout dans des couleurs allant du sombre au clair dépendant de son humeur.... ou de celle de sa jumelle...Qui a des avis très pratique...

Moira est une demoiselle avec un tempérament que l'on pourrais comparé a un torrent. Il a l'air calme de loin, mais quand on y met les pieds a l'intérieur... dieux qu'il y a du courant! Elle ne montre que très peu ses émotions du fait qu'elle juge que cela influence les pensée de ceux qui l'entoure, mais a l'intérieur d'elle-même elle a beaucoup d'anxiété, de doute qui la parcours de long en large. Elle a tout plein de petite crainte quant a ce que l'on pourrais pensée a propos d'elle. Elle est d'un naturel naïf ce qui lui vaut beaucoup de problème quand elle a des relation avec certaines personne. Bien qu'elle soit petite et menue, quand elle pique des colère, sa ne s'arête pas a un regard froid mais a des cris et parfois même des coups. Elle ne sait pas se battre heureusement et n'a pas la force pour s'en prendre vraiment a quelqu'un. Mais si elle est poussé a bout tout cela ne l'empêchera pas de le faire. Elle est une passionnée, traitant sa musique, ce qu'elle aime et ceux qu'elle apprécie avant sa propre personne. Quitte a s'épuisé complètement pour ce a quoi elle tien. Elle a peur du noir, car dans le noir ses troubles hallucinatoire se donnent a cœur joie, ne lui faisant pas seulement entendre la voix qu'elle appelle sa sœur, mais toute sorte de bruit la mettant mal a l'aise, en partant de grattement au bruit de pas ou encore de hurlement de panique qui malheureusement ne sont pas les siens. Elle est franche avec ceux qui l'entoure, parfois très critique, mais ses paroles sont souvent hésitante, comme si elle craignait de dire quelque chose qu'il ne fallait pas. Mais quand elle se met a jouer de la musique on dirait qu'elle change, qu'elle irradie de l'intérieur une force et une assurance qui ne lui ressemble pas. Les yeux clos pour porté plus attention a sa musique le torrent intérieur se calme et s'apaise. Quand elle joue, elle n'a plus peur, elle n'a plus d'hésitation parce qu'elle est en terrain connu. Elle sourie sans retenue pour elle-même plus que pour ceux qui l'écoutent ou la regarde. Après avoir jouer cet état de sérénité perdure parfois quand elle n'a pas eut d'hallucination qui lui faisaient sauter une note ou encore que sa "sœur" ne l'a pas interrompu. Mais quand c'est un "élément extérieur" qui l'intéromp, cela provoque plus souvent qu'autrement des crise de colère.

Toute histoire à son commencement, celui-ci commence tout naturellement par une naissance, mais je vous épargne les détails des premiers pas et des premiers mots d'Annabelle. L'important à savoir c'est que ce fut deux petits êtres semblable qui naquirent ce matin là, à l'aube. Mais un seul laissa entendre son cri de victoire alors qu'elle abordait les premières minutes de sa vie.

C'était dans sa jeunesse une enfant vive et joyeuse, souvent dans la lune particulièrement quand la musique l'entourais. Elle avait apprit rapidement à jouer d'un instrument, commençant par le piano. Son tuteur n'avait qu'a lui montré les touches et les notes, comment lire une partition et elle faisait le reste. Il lui suffisait d'apprendre une fois et elle ne refaisait jamais la même erreur. Une vrai prodige avec l'oreille musicale. Elle entendait une musique

Entre ses cinq a dix ans, c'était un vrai petit ange qui écoutait ses parents faisaient comme ils le voulaient et était particulièrement très gâté par des parents très bien nantis qui veillaient au bien-être de leur enfant unique. Bien qu'il n'aie que trop peu de temps à donner à leur fille, ils s'assuraient qu'elle soit bien entourée d'un tuteur et de ce qui se rapprochait le plus d'une "nounou". Son temps était partagé entre l'école (une école privée bien entendu) son tutorat pour la musique et ses jeux avec sa nounou elle n'avait pas à penser à grand chose et paraissait tout à fait normale. Comme tous les enfants elle avait un ami imaginaire qui inquiétait beaucoup ses parents, mais celui-ci ne semblais se manifester que lorsqu'elle pratiquait sa musique alors ils ne s'en firent pas tant que cela.

Lorsque l'adolescence vint par contre c'est là que tout changea. Elle se retrouva à faire des crises à ses parents parce qu'ils travaillaient tout le temps. Parcequ'elle disait qu'ils étaient des inconnus. Qu'ils se foutaient d'elle. La crise s'envenima quand ses parents tentèrent de calmer le tout et de lui faire apprendre un autre instrument. Elle choisit elle-même, prenant la guitare, mais refusant obstinément de jouer pour eux. Sautant parfois ses cours préférant aller dans les rues avec des amis qu'elle s'était fait et qui étaient peu fréquentables. Faisant tout pour choquer ses parents. De la teinture de cheveux jusqu'à prendre de la drogue (chose qu'elle arrêta rapidement puisqu'elle eut une mauvaise expérience)

Elle avait tout de même droit à une école privée spécialisée dans son domaine de la musique et ses cours varié réussirent quand même à la captivé. Mais l'ombre qui planais quand elle écoutait sa musique, cette voix à qui elle parlait toujours ne disparaissait pas. Elle s'entêtait à dire que quelqu'un lui avait bel et bien parler. Et de plus en plus elle tempêtait contre elle-même parce qu'elle disait qu'elle faisait tout le temps des fausses notes ou encore dans un endroit silencieux elle entendais une mélodie que personne d'autre n'entendaient.

Ses parents tentèrent de la faire voir un psychologue et elle s'y opposa farouchement. Elle fit même une fugue quand ils tentèrent de la forcer à y aller et ils abandonnèrent donc. Mais la jeune femme fut blessée par cette tentative forcée. Elle fut retrouvée et ramener de force avec la promesse qu'ils ne tenteraient pas à nouveau de la pousser à faire quelque chose contre son gré. Et suite à ces évènements ils la laissèrent un peu tranquille. Le temps passa et ses cours à l'école portèrent sur le chant au lieu d'un troisième instrument. Cette fois, elle était occupée et donc ne pouvait pas vraiment parler à une voix invisible... Quoi que parfois elle arrêtait, passait ses commentaires ou donnait des conseil à la voix... apparemment qu'elles chantaient ensemble....

Puis un jour suite à une autre prise de bec à ce sujet avec ses parents elle entra dans leur chambre et se mit a tout retourné aveuglée par la rage, à fouiller dans leurs bureau et a tout viré sans dessus dessous. Elle finit par tomber sur des papier.... deux certificat de naissance et un autre de décès... l'un portait son nom, l'autre un nom inconnu... mais le même nom de famille et quelques minutes de différence avec sa propre naissance. Elle prit les papier et cette fois la voix s'éleva dans un cri de douleurs, lui affirmant que c'était elle. Qu'ils avaient tentés de la faire disparaitre. C'était eux les responsable! Elle n'était pas folle c'était eux les meurtrié!!"

Sous l'impulsion de sa voix, de la voix de sa soeur, elle s'enfuit à nouveau apportant sa guitare et son cahier de musique ainsi que le strict minimum pour voyager léger. Elle réussit à tenir deux semaines à bouger de place en place, mais la police, aiguillonné par ses parents mit les bouchés doubles pour la retrouver.

Cette fois, lorsqu'elle fut ramener chez elle, elle éclata sous le poids de sa colère un hurlement de reproche après l'autre elle leurs montra les papiers qu'elle avait trouvé disant que c'était faux, que sa soeur n'était pas morte et que c'était eux qui tentaient de la faire passer pour une folle parce qu'ils étaient incapables de lui cacher qu'elle était vivante. C'était pour sa qu'elle l'entendait qu'elle avait parfois l'impression de la voir.

Ses parents réussirent à la faire rentré dans sa chambre ou elle fut obligée de rester jusqu'à ce qu'elle soit calmée. Mais elle se mit à jouer de la musique et ses parents pour la punir tentèrent de lui retirer son matériel. Mais la crise qui suivi fut encore plus grande. Ne s'arrêtant plus aux mots et aux insultes elle tenta de s'en prendre physiquement à son père, sans grand succès bien entendu... elle avait à peine 16 ans et son état ne fit qu'empiré. Chaque chose commença à avoir sa place et personne ne devait toucher à ses affaires ou entré dans sa chambre. Chaque fois qu'on lui disait qu'elle était folle ou qu'elle entendait des voix et des sons qui n'existaient pas elle lançait un regard noir ou en venait au poing. Ne cachant plus qu'elle entendait des choses paraissant même fière. Elle perdit un à un ses amis, et le respect de ses parents...

Ceux-ci en voyant la publicité de Abrosya décidèrent qu'ils étaient le dernier espoir de leur fille et l'y envoyèrent. Placée dans leur main elle irait surement mieux. Entre temps ils feraient comme si elle était partie à l'étranger.

On lui retira ses souvenirs de sa propre personne, on lui dit qu'elle s'appelait maintenant Moïra, qu'elle resterait ici tant que l'on aurait pas retrouver son identité, qu'elle se remettait à peine d'un accident grave dans lequel elle avait été plonger dans le coma et tout ce qui se passait ici était pour veillé à son rétablissement.